dimanche 18 octobre 2015

univers jeunes: Résultats provisoires du scrutin présidentiel, Alp...

univers jeunes: Résultats provisoires du scrutin présidentiel, Alp...: Comme la présidentielle   de   2010, où les irrégularités furent enregistrées, notamment   des fraudes massives, la chasse des militants...

Résultats provisoires du scrutin présidentiel, Alpha Condé le mal de 2010, réélu avec surprise !


Comme la présidentielle  de  2010, où les irrégularités furent enregistrées, notamment  des fraudes massives, la chasse des militants  de l’opposition dans les fiefs du président sortant Alpha Condé,  a cela s’ajoute le jeu des lobbies nationaux et internationaux  et autres en faveur du candidat du RPG Arc en ciel. Des failles qui ont permis aux complices de renversé la pyramide, c’est-à-dire celui qui avait eu 18% au premier tour  contre 44% de  son challenger, s’est retrouvé vainqueur au second tour, un fait  qui a  surpris le monde  à l’époque.  Pour cette élection présidentielle du 11 Octobre, les mêmes causes ont produits les mêmes effets, comme disait  un adage, l’habitude est une seconde nature.
Alors en évitant  d’être malmené au deuxième tour  par ses adversaires, dont Cellou Dalein Diallo, Sidya Touré et d’autres, qui ont une cote de popularité plus élevé que lui.  Alpha Condé, président candidat  a décidé cette fois ci d’anticiper la mascarade électorale, bien entendu en complicité avec la commission électorale nationale  indépendante (CENI), qui dans sa stratégie de plébiscité l’impopulaire Condé, a d’abord enrôlé des mineurs dans son bastion en Haute Guinée ensuite  privé plusieurs militants du chef de file de l’opposition, de s’en procurer de leurs cartes d’électeurs,  aussi l’éloignement des bureaux de vote dans les circonscriptions favorable à son principal opposant, la création des bureaux fictifs, le  manque d’acheminement des matériels de vote dans les zones du leader de l’Union des forces démocratique de Guinée(UFDG).
Mais pour Alpha Condé, l’une des meilleures options d’arracher une victoire à la soviétique dès le premier tour parmi ses huit adversaires en lice, c’est d’impliquer ses ministres et directeurs généraux  brebis dans le processus en les déployant dans leurs localités d’origine, ceci pour en faire le bourrage d’urnes, une mission aussi accomplies. D’ailleurs qui l’a permis de viré le navire électoral avec : nombre de voix 2285827 soit 57,85% contre Mamadou Cellou Dalein Diallo UFDG : 1243.362 voix soit 31, 44%.
 Si non en lorgnant  la sociologie politique de la Guinée, où le vote est ethnique, aucun des candidats ne  peut  rafler une victoire au premier rendez-vous électoral  aussi farfelue que celle qu’on vient d’enregistrée. Pauvre nous
Mamadou 3 Diallo
diallomamadou316@gmail.com/ Tel : 655 74 11 37/664 91 76 99

vendredi 16 octobre 2015

univers jeunes: Guinée, violences préélectorales : la FIDH hausse...

univers jeunes: Guinée, violences préélectorales : la FIDH hausse...: Dans but d’attirer l’attention des acteurs politiques sur les violences perpétrées ces derniers temps   à Conakry et à l’intérieur du pa...

Guinée, violences préélectorales : la FIDH hausse le ton

Dans but d’attirer l’attention des acteurs politiques sur les violences perpétrées ces derniers temps  à Conakry et à l’intérieur du pays  pendant la campagne électorale, la fédération internationale des droits de l’homme –FIDH-, l’organisation guinéenne de défense des droits humains –OGDH- et l’ONG mêmes droits pour tous –MDT-  se sont exprimé ce vendredi 16 Octobre 2015 à Conakry  leur  indignation  sur la tension persistante en Guinée.
 Pour éviter d’éventuelle contestation des résultats du scrutin du 11 0ctobre, ces organismes, dans une déclaration conjointes, ont interpellé  ces  acteurs politiques d’observer le calme, la retenue et les engage à recourir  toutes les voies légales disponibles pour faire valoir leur revendications, ceci pour être à l’abri  des troubles.
« Les contestations relatives à l’intégrité du scrutin et à la validité des résultats, quels qu’ils soient, doivent être portées devant la Cour constitutionnelle, seule habilitée à trancher les différends électoraux. Les porter dans la rue ajouterait aux tensions actuelles le risque de nouvelles violences et ne servirait pas l’esprit démocratique auquel l’ensemble de la classe politique a rappelé son attachement en allant voter dimanche dernier », a déclaré Souhayr Belhassen, présidente d'honneur de la FIDH.
Poursuivant leur déclaration ces ONG de défense des droits de l’homme, indiquent que  depuis  que le premier tour de l’élection  s’est tenu, un climat relativement apaisé, des tensions ont éclaté, notamment dans la capitale, et plusieurs candidats, dont Sidya Touré (UFR) et Cellou Dalein Diallo (UFDG), ont annoncé leur retrait du processus électoral, en raison des fraudes alléguées.
Sur la même longueur d’idée, elles soulignent que « les tensions qui sous-tendent le débat politique guinéen sont particulièrement préoccupantes et menacent d’éclater si les institutions étatiques ne sont pas renforcées. La justice, les forces de sécurité et l’administration doivent pouvoir être perçues par l’ensemble des citoyens guinéens comme neutres, apolitiques et indifférentes aux clivages communautaires. Ce devra être la priorité du prochain gouvernement », a interpelé Me Drissa Traoré, vice-président de la FIDH.
Par ailleurs, elles relèvent que  bien que des actes de violences aient été commis de part et d’autre, les arrestations et les poursuites déclenchées jusqu’à présent ne visent quasi-exclusivement que les militants des partis d’opposition. Sur ce, il en va de la crédibilité de la police et de la justice d’assurer que la répression des violences soit traitée de manière juste et équitable. Dans le cas contraire, c’est l’image du pays au service d’un parti politique qui est donné aux militants des partis d’opposition.
 C’est pourquoi, il est primordial de faire face à « La réconciliation des citoyens entre eux et l’apport de garanties pour restaurer leur confiance vis à vis de l’État, laquelle passe par la poursuite d’une réforme en profondeur des institutions, sont les conditions de la préservation de la paix en Guinée », a ajouté Abdoul Gadiry Diallo, porte-parole de l'OGDH.
Pour terminer, il s’agraine en avouant que, si le prochain gouvernement ne s’attèle pas à démanteler les racines de la défiance intercommunautaire en renforçant le cadre étatique commun à tous les citoyens, le risque est grand que la Guinée replonge dans son passé de violence politico-ethnique.
Mamadou Diallo, Tel: 664 91 76 99
diallomamadou316@gmail.com

Violences électorales : le Parti FNPG appelle les guinéens à la retenue


Après quelques jours de  violences  qui ont  émaillées  pendant  la  campagne électorale  du scrutin du  11 Octobre 2015, où des pertes en vie  humaines et des dégâts matériels  furent  enregistrées, les  appels aux calmes s’intensifient de la part des acteurs politiques et religieux. C’est dans cette optique que le Parti Front National pour le progrès de la Guinée a tenu une conférence de presse à la paillotte. 
Dans sa  déclaration rendue ce vendredi, 16 Octobre, le président  du Front National pour le Progrès de la Guinée(FNPG), Moussa Nico Conté,  a toutefois  exprimé sa profonde  indignation  faces aux violences  perpétrées  dans les régions et à Conakry dans le cadre de la campagne électorale faisant état des morts et des dégâts matériels.  Face à cette situation alarmante, le FNPG interpelle en amont   les partis politiques  à respecter  les lois, de sensibiliser leurs  militants à la non violences, d’éviter toute déclaration incitant aux troubles,  il leur suggère par la même occasion  de faire recours aux procédures légales prévues pour les contentieux  éventuels.  
Sur la même lancée, il exhorte à l’Etat de renforcer la sécurité des personnes et de leurs biens sans aucune discrimination, de veiller aussi à la neutralité de l’Administration vis-à-vis du processus électoral ; d’offrir ensuite les conditions idoines pour la stabilité politique et la cohésion sociale. Poursuivant sa narration, M. Moussa Nico Conté, attire l’attention de la CENI  à s’assurer de la gestion du processus de centralisation des votes et de la proclamation des résultats provisoires dans le strict respect des procédures en vigueur, mais  surtout d’exercer effectivement leurs  pouvoirs  selon les textes de loi, qui confère en matière de lutte contre les pratiques  de fraude et de corruption électorales.
Par ailleurs, il lance un appel aux leaders d’opinion de  multiplier les sensibilisations à la population, au sens de responsabilité  et au respect du verdict des urnes. Dans la même longueur d’idée, il plaide aux politiciens d’adopter prochainement à une instance technique pour organiser toute élection en république de Guinée, ceci pour éviter tout genre de contestation.
 Sarkozy
Tel : 655 74 11 37/diallomamadou316@gmail.com

lundi 12 octobre 2015

Présidentielle en Guinée : les sept adversaires du président sortant, demandent l’annulation de l’élection du 11 octobre 2015


Au lendemain de la tenue du scrutin présidentiel 11 octobre, les sept candidats sur les huit en lice ont animé une conférence de presse pour annoncer qu’ils ne reconnaîtront pas les résultats issus de cette élection.
Dans l’ensemble, les sept candidats ont dénoncé les irrégularités qui ont caractérisé le déroulement du scrutin. Dans son intervention, le Président de l’UFDG, Cellou Dalein Diallo,  a affirmé que suite aux différentes anomalies constatées durant le processus électoral et le déroulement du scrutin, les sept candidats ne sont pas prêts à reconnaitre le scrutin.
« Le scrutin a été une mascarade, c’est une fraude massive qui a été organisé toute la journée et qui continue aujourd’hui au niveau des commissions administratives de centralisations des votes, (CACV).  Nous ne pouvons pas accepter ce scrutin-là. Nous demandons son annulation. Et nous ne reconnaitrons pas les résultats qui vont être issus de ses élections », martèle Cellou Dalein Diallo.
Justifiant les raisons qui les ont poussé à aller à cette élection, le président de l’UFDG a indiqué que qu’ils ont montré toute leur bonne foi pour aller à ses élections. Malgré, dit-il, la non application de l’accord politique du (20 août 2015), le non-respect des bonne pratiques et le quota, par la violation du code électoral, la privation des Guinéens de leur cartes électeurs.
« Nous essayons de voir pour ne pas qu’on dise que nous avions peur d’aller à ses élections. Mais avec cette mascarade électorale, ce hold-up électoral qu’on est en train de préparer, nous ne pouvons pas souscrire à cela », prévient le candidat de l’UFDG.
lejourguinée

dimanche 11 octobre 2015

Election présidentielle du 11 Octobre : les guinéens en fin aux urnes




Environ  6 millions  d’électeurs guinéens  sont appelé à voter ce dimanche 11 octobre 2015. Cela, pour  accomplir leur droit civique, comme annoncé par la commission électorale nationale indépendante (CENI).
Dans la plupart des bureaux  de vote sillonné par notre reporter à Conakry et en périphérie, les manquements sont signalés, dont entre autres : faible représentation des délégués des candidats en lice, manque d’enveloppes, cachets, cahiers d’émergements ; malgré l’affluence des citoyens.
En plus de ce manquement, il y’a d’autres bureau de vote qui n’ont pas encore (13H30) heure locale qui n’ont pas ouvert. Dont la cause serait due à la non présence des membres du bureau de l’ensemble des partis.
Pour rappel,  à  quelques jours de la fin de  campagne, des  violences émaillées  de dégâts matériels  et humains à Conakry et certaines localités à l’intérieur du pays, notamment à  N’Nzérékoré au sud du  pays, également  à la sous-préfecture de  Banankoro dans la préfecture de Kérouané, situé  au nord-est du pays, ainsi que dans la préfecture de  Koundara ont été enregistrées.  
Mamadou Diallo, correspondant à Conakry afriquemidi.com
diallomamadou316@gmail.com/Tel: 00224 655 74 11 37