PATRONAT GUINÉEN : Compte rendu de la rencontre du BIT à Genève.

 

Ce week and, dans un réceptif hôtelier de la place s’est tenue la rencontre patronale du CNPG pour faire le compte rendu de la conférence internationale patronale à Genève.

La rencontre placée sous la présidence en exercice de Mamadou Sylla, président du CNPG, la rencontre a porté sur quatre points : le compte rendu de la rencontre de Genève, le renouvellement des fédérations qui devaient selon Monsieur Sylla se tenir depuis juillet 2014 pour renouveler le bureau exécutif national, ainsi que la question des nouvelles adhésions et les divers.

Mamadou Sylla a fait le récit de son séjour à Genève en suisse dans le cadre de la rencontre du BIT (Bureau international du travail). Il a expliqué notamment la cacophonie qui a entouré la délégation guinéenne lors de cette conférence, pointant du doigt  un manque de respect à son égard en tant que premier responsable du patronat guinéen.

Le malentendu autour de la représentativité du patronat guinéen à cette conférence  a poussé Mamadou Sylla à porter plainte auprès des responsables du BIT suite à l’usurpation d’identité selon lui et de responsabilité dont il a été victime, il a ensuite été rétabli dans ses droits.

Dans la même lancée il a abordé le rôle joué par  Sékou Cissé à la tête du Conseil National du Patronat Guinéen dans le désordre occasionné lors de cette rencontre de Genève selon M Sylla ; notamment dans le listing de la délégation qui devait effectuer le déplacement pour Genève. Jusqu'à quatre listes aurait été émises, des listes dans lesquelles  son nom ne figurait qu’en tant que simple participant s’est il insurgé.

La question du congrès du patronat a en outre passionné les débats, les uns voulant un changement dans la gestion du patronat, les autres renouvelant leur soutient morale au président Sylla.

Mamadou  Aliou  Diallo 

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Société: Quand la fin de l’impunité en Guinée ?

     

                                              Le jeune Sankhon est à gauche sur cette image

Dans l’optique d’attirer l’attention du pouvoir d’Alpha Condé de gouverner  dans  le strict respect du principe de la démocratie également du droit pour tous. Le  Parti Rassemblement pour la Renaissance et le Développement (RRD) à travers le  jeune Mohamed Sankhon, Directeur  de la Communication du Parti, a dénoncé dans ces derniers temps par le canal des médias, les tars du régime en place, notamment les cas de corruption, de détournement de deniers publics, les arrestations arbitraires, les assassinats ciblés et tant d’autres failles que subissent les guinéens.

Certainement furieux  de toutes ces dénonciations intensives, le pouvoir aurait procédé par ces marges de manœuvres contre  le jeune Mohamed Sankhon  dont –il fut l’objet des menaces, mais aussi certains membres de sa famille. Pour  se sauver  la vie, le  jeune leader était tenu obligé d’aller  en cavale d’où pour l’instant il reste  introuvable. Selon certaines sources il aurait quitté le pays pour une destination encore inconnue. Ce jeune engagé, motivé  avec pour ambition  l’application et le respect de la démocratie en Guinée,  aurait tenu des propos déplacer en l’encontre du parti au pouvoir, particulièrement le Chef de l’Etat Alpha Condé, qui gouverne le pays comme Bokossa avec un tâtonnement.
Depuis, le jeune Sankhon  à commencer à recevoir des menaces de mort au téléphone et à la date du 10/04/2015  son domicile fut saccagé et incendié par des personnes non identifiées. En ayant pas le jeune en question les commanditaires ont engagé  quelques jours après une autre méthode d’où l’arrestation de sa  femme et est  placé en garde à vu au PM3 dans le but de retrouvé son mari. La famille du jeune leader Mohamed Sankhon continue de recevoir des
menaces les demandent de montrer où se trouve  leur enfant.
Aujourd’hui les leaders politiques Guinéens et autres leaders d’opinions  sont très inquiets car ils sont pris  pour cible et ne savent plus à quel sein se vouer. Comme le dit certains opposants il ya un commando de la mort en Guinée et qui n’a que pour cible les leaders politiques.
Cependant Mohamed Sankhon  reste pour l’instant  introuvable. Mais l’interrogation qui plane dans les esprits des guinéens, quand la fin de l’impunité ? Autre  question qui taraude les esprits est où est la justice, la démocratie,  bref  l’Etat de droit dans un pays qui se dit démocratique !
Avec à sa tête un président démocratiquement Elu.
Affaire à suivre !
La Rédaction