mardi 30 septembre 2014



Foot- ball : le syli national cadet se qualifie pour la prochaine  coupe d’Afrique des cadets  2015
Dans La perspective de la qualification  et  des préparatifs de l’équipe du syli national cadet à la prochaine coupe d’Afrique des nations des cadets  qui se tiendra  à Niamey  au Niger en 2015, une rencontre  s’est tenue  à la primature  entre l’équipe, les membres  de la FEGUIFOOT  (fédération  guinéenne de foot Ball) et quelques membres du gouvernement, à  la tête le premier ministre Mohamed  Said  Fofana ,la ministre des sports Domani Dore et le ministre de la jeunesse Moustapha Naite .
Au cours de cette rencontre le staff technique de l’équipe  et notamment   l’entraineur  Hamidou Camara a expliqué aux représentants  du gouvernement  leur parcours et les difficultés  auxquelles  ils  ont été confrontés « on a dit au premier ministre on va partir et pourquoi  pas ramener cette coupe c’est possible, si réellement on s’occupe de cette équipe » mais il a évoque surtout les conditions dans lesquelles ils ont leur  préparation   « les difficultés que nous avons rencontrés depuis l’entame de la préparation le 5 mars  sont nombreuses ,mais aussi nous demandons  au premier ministre que vraiment l’équipe a besoin de soutient  parce qu’elle  est à l’étape de la formation, elle n’est pas terminée afin que l’équipe puisse nous représenter  valablement en 2015  et pourquoi pas en  2023 »,ils ont ensuite lancés  un appel de soutient au gouvernement pour la suite de la préparation ainsi que de la compétition à venir .De son coté le gouvernement par la personne du premier ministre a réaffirmé leur soutient  à  l’équipe et pris des garantis quant à la tenue  dans de bonnes conditions de l’équipe pour  leur préparation physique et technique  ;quant à  la ministre des sports elle s’est félicité de la performance dont a  fait preuve l’équipe et s’est dit confiante que l’équipe  récidivera avec d’autres performances. Pour la genèse  de cette qualification il faut préciser  que le syli était opposé au Togo, la rencontre s’est jouée  sur terrain neutre au Maroc .Vainqueur à l’allé  1 but à 0, Les cadets  ont arrachés  leur qualification en battant le togo à domicile sur le score de 3 Buts  à 0 à Lomé. Au compte de ce tour qualificatif le sily avait comme adversaire en poule le Maroc, la Gambie, le Togo, ils ont fait un parcours sans faute, quatre matchs quatre victoire même si au passage la Gambie  avait signée  forfait.
La balle est désormais dans le camp des autorités sportives pour permettre à  cette nouvelle génération de talents de tirer leur épingle du jeu et pourquoi pas assurer la relève d’un syli national vieillissant pour  la Can 2023 dont la guinée est le pays hôte ? L’avenir nous édifiera.
Mamadou Aliou Diallo
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lundi 29 septembre 2014

religion



Science et technologie
 La théorie de l’avant Big-Bang, quand la science nous mène vers Dieu      
 L’histoire remonte aux années 90 lorsque pour leur thèse de doctorat les deux étudiants chercheurs Grishka et Igor Bogdanov commencent à s’interroger sur l’origine  véritable de l’univers. Avant cette époque, toute la communauté scientifique pensait unanimement que tout a débuté par le big-bang, théorie selon laquelle, à partir du hasard, toute la matière de l’univers est apparue d’un seul coup dans une  « boule de feu », il s’est produit alors une explosion et cette matière avec toute son énergie incalculable a commencé à se propager  dans tous les sens par effet de l’inflation. Or, le moment du big-bang ayant été calculé on s’est aperçu que ce n’était pas le temps primordial, le temps Zéro ; et personne n’avait jusque là eu le courage de remettre en cause l’idée selon laquelle, tout aurait débuté au moment du big-bang.les deux chercheurs ont été les premiers  à émettre  l’hypothèse selon laquelle  avant le big-bang il y’aurait autre chose, et cela non sans peine, ils ont reçu une forte désapprobation de la part de leurs collègues scientifiques pour la plupart apeurés par l’idée que la science abonde dans le même sens que la religion.
Se basant alors sur le principe que la matière, l’espace et le temps naissent au moment du big-bang, ce que toute la communauté des astrophysiciens, matérialistes ou idéalistes reconnaissent d’ailleurs, ils se sont dit alors, ce moment qu’on appelle le moment du big-bang ou le temps de Planck, qui est une fraction de seconde, ce n’est pas le temps zéro, or, tout est sensé commencer par le commencement. Les deux chercheurs se sont dit alors, puisque ce n’est pas l’instant zéro, il faut remonter avant ce fameux temps de Planck avant donc le big-bang. Ils ont formulé une hypothèse simple  « tout comme les êtres vivants sont précédés d’une information qu’on appelle le code génétique, et bien l’univers tout entier est précédé d’une information qui est une essence mathématique qu’on appelle le code cosmologique qui détermine tous les évènements qui vont permettre au scénario cosmologique de conduire à l’existence de l’univers organisé tel que nous l’observons aujourd’hui ».
Pour les profanes, il faut préciser que le code génétique représente l’identité biologique des êtres vivants, c'est-à-dire leur passé, leur présent et leur futur. L’univers avant le big- bang est dans le temps imaginaire, donc c’est une information pure, qui ne vit pas dans le temps, ni dans l’espace, elle est ailleurs et puis elle apparait dans le temps et dans l’espace au moment du big-bang ;  « pour simplifier, c’est comme quand j’envoie une image avec mon i-phone,avant qu’elle ne vous parvienne, c’est une information qui est dans le temps imaginaire, dans le nuage, ensuite elle se matérialise lorsque vous la recevez dans votre téléphone, c’est en quelque sorte comme cela ».
Avant le big-bang, le temps tel qu’on le connait aujourd’hui et qu’on mesure souvent sur une montre n’existe plus, à cette époque là, il devient complexe, il s’enrichit, il se déforme, ce n’est plus le même temps; il faut le comprendre et l’accepter et une fois qu’on a accepté cela, on en arrive à la conclusion qu’il y ‘a un point qu’on appelle la singularité initiale dans le langage des mathématiciens , ce point il ne vit pas dans le temps réel, mais il vit dans ce qu’on appelle en mathématiques le temps imaginaire, c’est-à-dire un temps mesuré par des nombres imaginaires ,ce sont les nombres au carré toujours négatifs ,ce sont les nombres complexes ou l’ensemble  C, pour ceux qui s’intéressent aux mathématiques, ce temps imaginaire est la variable conjuguée de ce qu’on appelle l’information,  et là, apparait la bonne nouvelle, on sait que finalement la matière est précédée par quelque chose en science qu’on appelle l’information, mais à quoi nous fait penser l’information?  C’est à l’esprit, c’est quelque chose qui est sans matière, qui est immatériel, l’espace et le temps ne jouent aucun rôle, les particules élémentaires  non plus, cette autre chose c’est ce qu’on appelle donc l’information, c'est-à-dire de l’immatériel, les métaphysiciens pourront appeler ça l’esprit ; l’éternité évidemment appartient à ce temps là. Parce que, le temps imaginaire lui ne s’écoule pas, il n’a pas de passé, il n’a pas de futur, l’univers est temporel et matériel, la cause de son existence  est immatérielle et intemporelle, on est tout près de ce que l’on appelle Dieu. D’ailleurs, ce que disait Platon dans une très belle phrase  «   le temps, c’est l’image mobile de l’éternité immobile ».
Si contrairement à Grishki et Igor, la quasi majorité de la communauté scientifique est terrifiée par l’idée que l’univers est une œuvre Divine et exclut toute idée de Dieu, eux se contentent juste de constater les faits et n’excluent pas de faire des rapprochements ou similitudes qui ont toute leur pesanteur scientifique, ils n’ont aucun complexe à l’exprimer dans leur livre  «  la fin du hasard », un titre assez symbolique, dans la mesure où les scientifiques pensent que l’univers est le fruit du hasard, ce qui d’ailleurs représente un paradoxe en science.
Dans une démarche absolument scientifique, dans leur livre les deux scientifique bottent en touche cette conception de l’origine de l’univers et sans se voiler la face, expriment avec sérénité son origine métaphysique, en partant des faits  d’observations pour aboutir à la conclusion que toute l’univers est organisé autour d’un programme (le code cosmologique),qui détermine son passé, son présent et son avenir, et plus loin démontrent que toutes les observations et études du cosmos concordent avec l’idée d’un Créateur, de l’existence d’un Dieu . Même si aujourd’hui les scientifiques se bornent avec leur dicton, la divinité est incompatible avec la science, ils reconnaissent pour la majorité que le big-bang n’est pas l’instant zéro, donc l’existence d’un avant big-bang ; une théorie qui, non seulement confirme la primauté de l’idée sur la matière, mais en même temps, ramène l’origine de l’univers à une dimension purement métaphysique. Et qui parle de métaphysique parle forcément d’immatériel comme l’éternité, l’esprit, l’éternel, de Dieu.
                                                                                                                                    Mamadou Aliou Diallo

Talents jeunes



TALENTS  JEUNES
Un jeune guinéen  met au point un panneau de signalisation  et un mini réseau de communication
Thierno Mamadou  N’danè  Diallo, est un jeune Guinéen de 27 ans, diplômé de l’Institut supérieur  de technologie  de Mamou  en instrumentation et mesure physique. Sa passion, c’est  la recherche et  l’innovation électrotechnique. Parmi ses exploits, il a réussi entre autres la prouesse technique de mettre au point  un émetteur  d’ondes radios,  pouvant couvrir un rayon de 15 mètres et un panneau de signalisation avec les moyens de bord, destinés à la circulation routière. Pur produit de l’école guinéenne, M. Diallo ambitionne de réaliser beaucoup de projets,  mais reste cependant confronté à des soucis de financement. Notre rédaction  l’a  rencontré pour  aborder de fond en comble son expérience et son  opinion de la recherche dans notre pays.   
Univers jeunes: Selon nos informations, vous auriez réussi  à mettre au point un mini réseau de communication. Qu’en est-il au juste SVP ?  
Oui, mais ça c’était lors des  mes stages personnels comme vous le savez, je suis un chercheur électronicien, c’est dans ce cadre que j’ai réalisé ce projet  de réseau de communication, mais c’était  juste un chemin de parcours ; j’en ai d’autres dont  je n’en ai pas parlé, mais celui que je vise beaucoup plus c’est le feu tricolore que  je compte  agrandir
Oui, mais expliquez- nous pour le réseau de communication ?
C’est un simple émetteur  Fm comme les radios privées, les radios rurales. C’est quelque chose comme ça, mais pour moi la longueur d’onde, le rayon d’émission n’est pas aussi considérable. C’  était juste un test pour moi afin de vérifier  si un jour je suis capable de mettre au point un autre de plus  grande capacité, comparé aux radios privées  qui sont à Mamou  pour celui-ci dont j’ai fait cas à mes amis en  leur expliquant  qu’il est possible de réaliser. Mais pour celui-ci, je ne tiens pas beaucoup à lui, parce qu’il n’est composé que de quelques  transistors  et condensateurs, juste pour émettre les ondes.
A quelle distance les ondes hertziennes sont-elles émises ?
Bon, ce que  moi j’ai émis, c’est de l’ordre de 10 à 15 mètres de rayon d’émissions ; si le poste récepteur ne se trouve pas dans les 15 mètres de rayon d’émissions de l’émetteur, il ne peut pas recevoir les ondes émises par celui-ci, il est petit de capacité.
Quelle est votre projet de cœur ?
C’est le feu tricolore, la régulation routière
L’avez-vous déjà mis au point ?
Voilà, lui aussi je l’ai déjà  mis au point,  je cherche maintenant  à avoir une personne pour le financer.
Quelles ont été vos difficultés lors de la réalisation  de ce projet ?
Ah, là  il y’a eu trop de difficultés,  sachant que  non seulement la recherche n’est pas encouragée, ce n’est pas facile, il y’a trop de travaux, il faut réfléchir  et aussi assez de dépenses à effectuer  et si en plus tu est seul  il n’y a pas de personne  qui puisse  t’encourager  financièrement et moralement,  là où tu te limites  c’est là-bas où  tout se limite, vous voyez ,je crois à partir de là, vous pouvez imaginer certaines de nos difficultés.
Comment  êtes-vous parvenu  à  le  réaliser  avec  toutes ces difficultés?
Oui, c’est  parce que, déjà  j’ai l’amour de ce que  je fais, vous comprenez et puis je savais  que si  je continue, je pourrai  m’en sortir, je finance moi-même quand j’ai l’argent, j’achète des composants et aussi je fais mes recherches  par mes propres fonds, voilà je rentre dans mon labo, je réalise ce que j’ai trouvé, bon c’est comme ça que je fonctionne.    
Dans les pays développés, il y’a toute une structure chargée  de coordonner la recherche,  les découvertes  et innovations sont brevetées, avant d’être vulgarisées, avez-vous une garantie que votre innovation ne sera pas usurpée ? 
Il  n y’a  pas beaucoup de personnes  qui connaissent que je l’ai fait et je n’ai pas cherché à le protéger, mais je compte le faire  dès que  possible, mais pour le moment je peux dire qu’il n’est pas protégé.
Avez-vous déjà reçu un soutien des autorités chargées  de ces questions- là ?
 Pas encore, à Mamou ici, je fais mon mieux mais je n’ai pas pu, quand je les rencontre et leur explique, ils disent que c’est un projet  important, c’est intéressant mais ils se limitent là-bas, quand je leur demande de l’aide, ils me disent qu’ils ne peuvent pas m’aider, qu’il faut que je rencontre les autorités, les ministres et autres.
Etes-vous venus à Conakry dans ce cadre?
Voilà ce qu’ils me disent,  de venir à Conakry, rencontrer  les ministres et les hauts responsables, mais moi j’avais voulu passer par la voie hiérarchique, du maire au gouverneur et autres, on ne peut pas dire qu’ils ne vont pas m’aider, mais présentement tel n’est pas le cas.
Avez-vous des objectifs à long terme ?
Oui, effectivement par exemple quand on prend le feu tricolore là, même si j’ai réussi à le valoriser je ne veux pas seulement me limiter  à cela .Celui que j’ai fait, est fait à partir de la logique câblée, après  je vais chercher à le remodifier pour l’améliorer.
Que pensez-vous de la recherche  dans  notre pays ?
Là, la recherche elle est difficile, elle est très ardue, parce que, comme je l’ai déjà dit, je peux dire elle n’est pas encouragée ; donc les chercheurs qui s’y adonnent sont presque seuls ; rares sont ceux qui sont encouragés ;non seulement elle est difficile et si encore elle n’est pas encouragée, vous comprenez  ce que je veux dire, donc il n’ ya pas mal de gens qui veulent le faire mais ils sont là, difficilement ils trouvent ce qu’il leur faut, donc c’est un obstacle.
 Pensez- vous que le secteur de la recherche  est laissé pour compte ?
D’une manière, parce que il y’a des personnes qui sont chargées de la recherche, moi personnellement dans tout mon parcours je n’ai pas  dit à ces personnes là, aidez- moi, et quand tu leur explique, ils se contentent juste de dire que c’est une bonne chose et ça se limite à ça.
Avez-vous déjà été approché par un media ?
Non pas encore, si je ne me trompe pas  vous êtes  les premiers.
Avez- vous déjà signé un contrat visant à matérialiser votre innovation ?
Pour le moment non ! Parce que, j’avais cru que j’allais avoir des personnes pour ça avant la célébration de la fête de l’indépendance, comme je vous ai dit la cause, les gens ne m’aident pas, ils ne me viennent pas au secours, voilà ce qui fait que ça bloque jusqu’à présent, mon premier  objectif c’était de le mettre en valeur avant la fête ; déjà rien n’est fait et la fête c’est dans quelques jours.
Pensez-vous qu’il est trop tard pour le promouvoir lors de cette fête ?
Non, ça peut être réalisé, ce n’est pas encore trop tard, mais moi j’ai fait toutes  les démarches- là pour que ça soit valorisé  à Mamou avant la fête, pour que ceux qui vont relier Mamou pour l’événement trouvent  ça fonctionnel.  Mais ça, je peux  dire que ce point là je l’ai raté.
Etes-vous à votre première  innovation ?
Non ! Ce n’est  pas la première, mais c’est la première  que je compte lancer, il y a d’autres dont je n’en ai pas parlé, j’ai beaucoup de petits  projets  que je compte aussi valoriser, mais disons que j’ai commencé par lancer  l’idée du feu tricolore, parce qu’il semble à mes yeux que c’est  l’innovation la plus simple entre autres.  Et il est moins coûteux financièrement,  techniquement il est plus facile à réaliser que les autres
Pour finir quel  message  souhaitez-vous lancer aux autorités pour venir en appui à la recherche et à l’innovation ?
Voilà  pour finir, je veux dire vraiment  au gouvernement de développer des politiques qui peuvent aider les gens qui s’adonnent à la recherche de pouvoir aboutir, pour pouvoir parvenir à leurs fins et parallèlement comme j’ai fait une maquette qui est aujourd’hui  fonctionnelle …
Justement quel message  lancez-vous personnellement  aux autorités ?
Personnellement, je cherche des personnes de bonne volonté, qui pourront m’aider à valoriser ma maquette, la mettre en  valeur, pour qu’elle  puisse être fonctionnelle.

Mamadou  Aliou Diallo
Attribution de la Can 2023 
La Guinée à l’honneur
Dans le cadre de l’attribution de l’organisation des cans 2019, 2021 et 2023, qui s’est tenu le 20 septembre dans la capitale éthiopienne Addis-Abeba, la guinée a été désignée à la surprise générale pour l’édition 2023.
Faisant  figure d’outsider parmi les candidats pour l’obtention de l’organisation des éditions 2019 et 2021, à la surprise générale, la CAF (confédération africaine de football) a donc tranchée en dévoilant le pays hôte de la Can 2023; bien que ne figurant pas à l’ordre du jour de la cérémonie .En 2023 c’est la guinée, qui n’y croyant pas trop a  décrochée la timbale, à  l’image de sa délégation conduite par le ministre oyé Guilavogui et le président de la feguifoot salifou Camara alias super V  « on a été récompensé mais ça été chaud ,c’était très ardu parce que les dossiers étaient excellents» déclare le Président de la Feguifoot, il poursuit en disant, qu’ il n’ya pas de temps à perdre pour être au rendez-vous de 2023.Notre pays accueillera donc la biennale du football africain . N’étant pas favorite au départ et surtout n’ayant pas  toutes les infrastructures nécessaires, la plupart des analystes mettent au compte de cette victoire, le fait que ce pays de l’Afrique de l’ouest contrairement à la plus part de ces voisins, n’a jamais abrité la Can, mais aussi c’est une consolation pour n’avoir pas été retenu au compte des éditions 2019 et 2021.
Bien que traversant des moments difficiles avec l’épidémie de la fièvre  Ébola, la guinée a  le temps nécessaire d’ici 2023 pour tirer son épingle du jeu en  développant ces infrastructures (sportives, routières, hôtelière) ; puis mettre en place un cadre organisationnel de qualité  garantissant la sécurité dans les stades et en dehors.
Cependant rien n’est joué d’avance quand on connait la situation de l’instabilité sociopolitique que vit ce pays, désormais à partir de l’antécédent libyen la CAF ne prendrais aucun risque si toutes les conditions organisationnelle et de sécurité ne sont pas remplis.
Sur le terrain quatre localités  ont été retenus pour abriter la compétition, Conakry la capitale qui possèdent deux stades :l’historique stade du 28 septembre de 16 000 places  et le nouveau  stade de nongo d’une capacité de 50 000 places qui attend toujours d’être fonctionnel avec l’achèvement des travaux des infrastructures annexes(parking, toilettes publique, et la clôture) ; ainsi que trois autres villes de province dont Labé qui possède un stade homologué, saifoulaye Diallo ,Kankan et N’Nzérékoré .
Le défi est donc immense pour les autorités  et l’ensemble du  peuple de guinée, notre crédibilité en dépend et nous formulons l’espoir que les guinéens parviendront à surmonter leur divergence et relever cet immense challenge  car c’est dans l’union qu’on parvient à  faire des miracles.            
Mamadou Aliou Diallo
                                                                                                                                  666 62 25 67