Le Sort de Simone Gbagbo est scellé: Voilà sa sentence
Contre toute attente,
les chefs d’accusation d’atteinte à la sûreté de l’Etat, d’attentats et
de complots contre l’autorité de l’Etat ont été systématiquement
abandonnés. Cependant, les peines les plus lourdes sont toujours
requises contre les miliciens et vont jusqu’à vingt ans de prison pour
participation à une bande armée ou à un mouvement insurrectionnel.
Ayant été également accusée de "troubles à l’ordre public" et de "constitution de bandes armées" par le ministère public, L’ex-Première dame, a connu ce mardi 03 Mars la peine qu'elle aura à subir durant ses futures années. C'est entourée de ses avocats face à l'accusation qu'elle a entendu le parquet prononcer contre elle, la lourde peine de 10 ans de prison.
On l'aurait d'ailleurs cru auparavant avertie tellement l'ex-première dame n'a pas sourcillé et vu comme elle s’est montrée impassible à l’énoncé des réquisitions.
Cependant, le lieu et les conditions de l'incarcération n'a pas encore été révélé par le parquet qui a poursuivi avec les réquisitions des 81 autres accusés.
Pour les autres accusés politiques, tels que Pascal Affi N’Guessan, le président du Front populaire ivoirien (FPI), Geneviève Bro Grébé, la leader des Femmes patriotes, ou encore Narcisse Kuyo Tea, le chef de cabinet de Laurent Gbagbo, leur responsabilités ne porteraient que sur le fait de troubles à l’ordre public. Par conséquent, le parquet général n'a requis que vingt-quatre mois de prison contre eux, c'est-à-dire deux (2) ans.
D'autres comme l’ancien Premier ministre, Gilbert Marie Aké N'gbo, l’ancien argentier de Laurent Gbagbo, Désiré Dallo ou encore l’ancien ministre, Joseph Kata Kété, eux, seraient coupables de troubles à l’ordre public et de coalition de fonctionnaires. Leur sentence réquises par le parquet serait de seulement dix-sept mois d’emprisonnement.
Le parquet général continue son réquisitoire. Il reste encore les accusés militaires, les prisonniers et tous ceux qui ont été convoqués face à la justice ivoirienne.
Ayant été également accusée de "troubles à l’ordre public" et de "constitution de bandes armées" par le ministère public, L’ex-Première dame, a connu ce mardi 03 Mars la peine qu'elle aura à subir durant ses futures années. C'est entourée de ses avocats face à l'accusation qu'elle a entendu le parquet prononcer contre elle, la lourde peine de 10 ans de prison.
On l'aurait d'ailleurs cru auparavant avertie tellement l'ex-première dame n'a pas sourcillé et vu comme elle s’est montrée impassible à l’énoncé des réquisitions.
Cependant, le lieu et les conditions de l'incarcération n'a pas encore été révélé par le parquet qui a poursuivi avec les réquisitions des 81 autres accusés.
Pour les autres accusés politiques, tels que Pascal Affi N’Guessan, le président du Front populaire ivoirien (FPI), Geneviève Bro Grébé, la leader des Femmes patriotes, ou encore Narcisse Kuyo Tea, le chef de cabinet de Laurent Gbagbo, leur responsabilités ne porteraient que sur le fait de troubles à l’ordre public. Par conséquent, le parquet général n'a requis que vingt-quatre mois de prison contre eux, c'est-à-dire deux (2) ans.
D'autres comme l’ancien Premier ministre, Gilbert Marie Aké N'gbo, l’ancien argentier de Laurent Gbagbo, Désiré Dallo ou encore l’ancien ministre, Joseph Kata Kété, eux, seraient coupables de troubles à l’ordre public et de coalition de fonctionnaires. Leur sentence réquises par le parquet serait de seulement dix-sept mois d’emprisonnement.
Le parquet général continue son réquisitoire. Il reste encore les accusés militaires, les prisonniers et tous ceux qui ont été convoqués face à la justice ivoirienne.
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